Je viens d’un pays que je n’ai vu qu’en rêve
(I comme from the land of sleep
I comme from the Land Down Under)
Je viens de la flèche des cathédrales
Et des caves de la cité
Je viens des ornières de l’exode
Je viens des marais salants
De la rue du Grand Cerf, des jardins communautaires.
(I come from red dust and hanging rocks
From the long Sunday arvos, from three hundred years of genocide, good spirited Iron man contests, icy cold beer on a hot day, slip slap slop, no hat no play, white Aussie policy.
And one day this little word, a bell bird in a hollow tree:
“Sorry”)
Je viens d’un voyage improbable, d’un réveil en sursaut
Je viens d’une découverte douloureuse, d’une deception miraculeuse
Je viens d’un malentendu.
(I come from Love)
There’s a lake in South Australia
Little Lake with a lovely name
And the story woven around it
From the picaninnies came
Every night the native mothers
Croon this lovely lullaby
Croon across the moonlit waters
To the star up in the sky
Carra barra wirra canna
Little star upon the lake
Guide me through the hours of darkness
Keep me safely ‘til I wake
Picaninnies heads are nodding
Drowsy crooning fills the air
Little eyes at last are closing
And the boat of dreams is there
Guide my boat across the waters
Cross the waters still and deep
Light me with your little candle
Safely to the land of sleep
Carra barra wirra canna
Little star upon the lake
Guide me through the hours of darkness
Keep me safely ‘til I wake
Morva Cogan (1923-1993)
Saturday 29 March 2008
Friday 14 March 2008
JJ's Lullaby - Berçeuse Francaustralienne (Part I)
Parfois je suis un vieux
Parfois je suis un sage
(I come from the Dreamtime)
Parfois je suis l'homme que je serai quand j'en serai un
(I'll always be you're blue-eyed wonder)
Thursday 21 February 2008
Thursday 14 February 2008
Tuesday 5 February 2008
Friday 18 January 2008
Thursday 10 January 2008
Ma Kro
Est-ce que je verrai ton visage encore une fois?
(Nan, va te faire foutre, tu l'as déjà vu en rêve salope)
Je me claque un grand coup la porte au nez, prend mes cloques sous le bras et je largue les jambes à mon col. Biensûr toujours seulement sur un clavier. En levant régulièrement, sans regarder, la main sur le Saint Graal.
Son Royaume pour une cyrrhose, ma foie, cette blague est bien facile...
Petite sirène qui siffle dans les haut parleurs, retour de l'ampli. hallucination auditive.
Dieu est une 1664.
(Nan, va te faire foutre, tu l'as déjà vu en rêve salope)
Je me claque un grand coup la porte au nez, prend mes cloques sous le bras et je largue les jambes à mon col. Biensûr toujours seulement sur un clavier. En levant régulièrement, sans regarder, la main sur le Saint Graal.
Son Royaume pour une cyrrhose, ma foie, cette blague est bien facile...
Petite sirène qui siffle dans les haut parleurs, retour de l'ampli. hallucination auditive.
Dieu est une 1664.
Saturday 5 January 2008
My True Love
Pour les entrechats, découvrez mon coeur.
On s'y fait, à cette pesenteur en pointillé.
Entre autres défaillances, on ne s'attend pas aux pieds de biche dans un crâne un peu tendre, mais à quelques sauts légers sur le poid mort des mémoires courtes.
Alcohol...
Gardien, je te dis excite le lien dans les lignes automatiques. Fais-moi écrire. Fais-moi penser au grand déchu, parce qu’il t'a révélé le grand bon. La lumière qu’il fait je la regarde en craignant aussi la Sienne. Je souhaite ensuite l’heureux retour. Je ne veux plus penser, penser n’est plus de bonne augure, mais taper en trouvant un jour que l’ange dicte.
L’expérience m’est peut-être interdite parce que, vertige, cette grande confiance en Lui a cloué mon pied au plongeoir. Chassés, les démons familiers. De grands bras mous me protègent, à peine.
(Où Es-tu ?)
Je suis trop terrain constructible pour qu’on s’adresse à moi depuis les limbes, les grands fossés du Seigneur sont déjà creusés sur mes tempes. Je devrais savoir sans qu’on m'agite sous le nez la preuve, je devrais me contenter de cette petite phrase cathéchèse.
MAIS QUEL INTERET SI LE SIGNE NE SE DEPLOIE JAMAIS ?
Qu’arrive-t-il si le premier jour de Noël n’apporte qu'une vraie perdrix sur le Poirier ?
Je suis seule et j’attends, je suis seule au rendez-vous, et la magie n'est pas.
On s'y fait, à cette pesenteur en pointillé.
Entre autres défaillances, on ne s'attend pas aux pieds de biche dans un crâne un peu tendre, mais à quelques sauts légers sur le poid mort des mémoires courtes.
Alcohol...
Gardien, je te dis excite le lien dans les lignes automatiques. Fais-moi écrire. Fais-moi penser au grand déchu, parce qu’il t'a révélé le grand bon. La lumière qu’il fait je la regarde en craignant aussi la Sienne. Je souhaite ensuite l’heureux retour. Je ne veux plus penser, penser n’est plus de bonne augure, mais taper en trouvant un jour que l’ange dicte.
L’expérience m’est peut-être interdite parce que, vertige, cette grande confiance en Lui a cloué mon pied au plongeoir. Chassés, les démons familiers. De grands bras mous me protègent, à peine.
(Où Es-tu ?)
Je suis trop terrain constructible pour qu’on s’adresse à moi depuis les limbes, les grands fossés du Seigneur sont déjà creusés sur mes tempes. Je devrais savoir sans qu’on m'agite sous le nez la preuve, je devrais me contenter de cette petite phrase cathéchèse.
MAIS QUEL INTERET SI LE SIGNE NE SE DEPLOIE JAMAIS ?
Qu’arrive-t-il si le premier jour de Noël n’apporte qu'une vraie perdrix sur le Poirier ?
Je suis seule et j’attends, je suis seule au rendez-vous, et la magie n'est pas.
Wednesday 5 December 2007
Wednesday 7 November 2007
Tuesday 16 October 2007
Thursday 4 October 2007
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